Offensive sur l'école
Publié par The Troll le 02 08 2023

Je reprend une de mes publications sur un rézo alternatif pour qu'il reste disponible, dans ce type de rezos, au bout de quelques jours ils "disparaissent" dans l'oubli.


je ne sais pas ce qui se passe dans l’éducation, mais cela fait 2 fois en quelques jours que je suis confronté à une demande d’autoritarisme dans l’école. par 2 personnes différentes, dans 2 “médias” différents. Ils attribuent la baisse de vocation à des problèmes de disciplines et de salaires.

Moi je l’ai vécu de l’intérieur en étant prof pendant 3 ans. Le métier de prof est un métier passionnant avec des contacts “riches” avec des élèves, souvent avec des parents “sympas”, le plus gros problème que j’ai rencontré c’est surtout … les autres profs. dès que vous sortez de la doxa ambiante qui met une sale ambiance dans les classe, vous êtes ostracisé et maltraité. Les/des profs se liguent pour vous harceler, pour dire du mal de vous et la direction, pour éviter les ennuis, se rangent de leur coté.

Les directions s’en moquent de vous et gèrent du “cheptel” autant élèves que profs. les demandes de “participation” à d’autres activités que celle pour lesquelles vous êtes rémunérés est monnaie courante et gare à vous si déclinez. Le cas de samuel paty est emblématique : il n’a pas été tué par un de ses élèves. TOUS les profs et TOUT l’administratif savaient et TOUT LE MONDE s’en moquait. si on ajoute que le “motif” était totalement fallacieux (il ne reflétait pas ce qui s’est passé), le cas est assez emblématique.

C’est marrant que macron monte d’un cran dans l’autoritarisme et EN MÊME TEMPS on trouve dans les médias dits “alternatifs” cette demande d’autoritarisme à l’école. une sacre putain de coïncidence. Alors que, lorsque dans les même médias alternatifs on écoutait des profs parler (par exemple renée chiche), les problèmes qu’ils décrivent sont, de mon point de vue, JAMAIS des problèmes de disciplines, mais des problèmes de structures.

Point encore intéressant, il y a des “recoupement” dans l’analyse, comme s’il y avait des “éléments de langages” qui étaient distribués, dans les 2 cas qui sont venus jusqu’à moi, on trouve la “méthode globale” de lecture. sacrée putain de coïncidence que le problèmes majeurs de l’école SOIT :

  • la discipline
  • la méthode globale

Alors qu’il y a les classes surchargés, les programmes de propagande, les locaux immondes, le manque de moyen pour faire des sorties, une carte scolaire à géométrie variable… Les profs demandent plus ce qui est au dessus qu’un meilleur salaire et des matraques. mais marrant comme les “zopozants” qu’on entend, on a l’impression d’entendre macron.

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Il ne faut pas confondre météo et climat
Publié par The Troll le 02 08 2023

Parce que parfois c'est compliqué, une image vaut bien un petit discours

ne pas confondre, sinon, hop conspis

ps : je félicite le préfet de l'aisne pour sa pré-science, lui qui a pris un arrêté sécheresse au mois de mai.Il n'a JAMAIS autant plu en été.

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Quels combats pour les femmes
Publié par The Troll le 18 11 2023

Publication reprise de mon compte diaspora


les femmes ont un problème avec le choix, problème qui croît exponentiellement avec le nombre d’options qui leur est présenté. Or elles sont passées en quelques décennies du choix relativement confortable du moins pire des prétendants de leur village, aux choix offerts par le monde du travail, l’école, l’université et finalement le Monde entier, puisqu’il suffit d’un compte Instagram pour attirer tous les affamés de la planète, ce qui pousse parfois certaines à faire la moue en permanence en se la jouant star de cinéma, ce qui ne favorise pas les rencontres.

Elles terminent alors leur périple sur Tinder, où elles peuvent, sans que cela les perturbe le moins du monde, être aussi superficielles que les hommes auxquels elles en font généralement le reproche et choisir, sur la base du seul physique, parmi une minorité d’individus qui n’ont que l’embarras du choix, vont les consommer sans donner suite, pour finir avec quelqu’un de plus jeune quand ils en auront bien profité, créant à la fois un ressentiment envers les autres hommes qui n’y sont pour rien, tout en confortant, faute de pouvoir regarder la réalité en face, le rêve éveillé d’une âme sœur cochant toutes les cases de plus en plus nombreuses ajoutées au fil des années qui, quelque part, les attend. Ce qui revient à se lamenter de n’avoir rien à se mettre devant une armoire pleine, chose qui deviendra réalité, lorsque pour avoir trop attendu elles auront trop changé pour trouver encore dans ladite armoire quelque chose qui leur aille dans le créneau de fertilité qui leur reste.
https://lamitedanslacaverne.blogspot.com/2023/08/labsurde-guerre-des-sexes-07082023.html

Même si les prémisses sont caricaturales et que je pense que ce problème de choix est a-sexué (plus on a de choix, plus il est compliqué de se décider) cet individu que je n’apprécie pas plus que cela hors le côté humour noir (qui n’est peut-être pour lui pas de l’humour) a le mérite de poser une problématique intéressante. Le rôle que la femme s’impose à elle-même, de par une idéologie dévoyée, et qui les pousse dans des situations peu enviables dont elles rejettent la faute immédiatement sur un “patriarcat” “toxique”.

De la même manière qu’un individu biologiquement mâle ne peut avoir intellectuellement aucune réalisation professionnelle dans un métier qui ne procure ni satisfaction, ni plaisir, ni carrière (pour ne fâcher personne prenons un métier désuet qui est garde champêtre), un individu biologiquement femelle à probablement plus (+) de véritables (entendre véritable par non induit par un discours libéral) plaisirs à élever son/ses enfants qu’à remplir des rayons et scanner des produits à une caisse.

ATTENTION : cela ne veut pas dire que cet individu femelle doit rester cloîtré à la maison : elle peut avoir une activité sociale avec d’autres individus faisant le même choix, elle peut poursuivre des hobbies et exister, même en tant qu’agent dit “improductif” par la propagande libérale. Je trouve “bizarre” que la “doxa” (même féministe) nous explique que la femme DOIT se réaliser dans un monde professionnel abrutissant et aliénant et qu’elle refuse d’admettre que ces mêmes femmes puissent se réaliser dans l’éducation de sa progéniture, qui est depuis à peu près 7 millions d’année, le rôle qu’elle accepte lorsqu’elle décide d’enfanter.

Je trouve alors parfaitement étonnant que les combats “féministes” sont parfaitement raccords avec les combats “libéraux” qui poussent les femmes dans un état d’asservissement tout à fait égalitaire de celui des hommes, alors qu’on pourrait attendre d’elles, un combat sur la reconnaissance de ce “travail” qu’est l’éducation de ses enfants (pourquoi, si vous donnez à élever votre enfant à une inconnue, l’état paie cette inconnue et si vous le faites vous-même, il ne vous paie pas, si ce n’est qu’il VEUT casser la relation parents-enfants) ?

Comme on sait que l’empathie vient de cette relation mère-enfant et que les saloperies que la société nous fait faire serait impossible sans avoir d’abord castré notre empathie “naturelle”, je ne suis pas loin de penser que les féministes sont instrumentalisées pour empêcher de créer ce lien (les femmes se font alors violence car c’est anti-naturel de laisser l’enfant que vous avez mis au monde à une autre) afin de pouvoir faire ce monde dégueulasse que nous vivons actuellement.

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La retraite chez les fragiles
Publié par The Troll le 30 09 2022

Je dois avoir un petit coté sado-maso, mais je suis retourné lire chez les... vous savez... le billet précédent. Et forcément article sur les retraites, écrit et commenté par cette "élite" de gens instruits qui disent que ce système par répartition est une pyramide de ponzy. que la solidarité entre génération ne peut marcher et qu'il n'y a que la gestion individuelle et les autres se démerdent.

Quant à réformer une arnaque à la Ponzi, bon courage pour obtenir un résultat sérieux à partir de réformettes n’attentant en rien aux principes vérolés qui servent de base.
Pas besoin d’un ordinateur pour cela… Mon prof d’histoire-géo en seconde, en 1979, nous a expliqué ce qu’était une pyramide des âges et son utilité en nous démontrant que le système de retraite par répartition était voué à sauter au plus tard en 2030.

Ainsi ils nous expliquent doctement qu'à la fin de la guerre avec beaucoup plus d'actifs que de retraités (qui ne vivaient pas très vieux) c'était soutenable, mais maintenant avec pratiquement 1 pour 1, ce n'est plus possible et qu'il faut supprimer ce système inique. Mais ces demis-instruits oublient de dire qu'en 1949, le PIB était de 13 milliards et qu'il est aujourd'hui de 2 500 milliards. Je pense qu'il y a matière a une discussion un peu intelligente (et donc pas avec eux) pour analyser les possibilités de gestion des systèmes de retraites.

Mais le pire de tout étant que ces demis-instruits, du fait de leur manque d'humanité (ce truc qui fait relation avec l'autre que l'on ne connaît pas) ne voient pas l'éléphant dans la pièce. Ce n'est pas le nombre de cotisants qui importent, mais le volume global des cotisations. Quelle différence entre 1000 personnes qui gagnent 1000 euros et une personne qui en gagne 1 000 000 ? je n'en trouve pas. Ainsi donc, le souci est donc bien la tendance à la baisse des rentrés de cotisations par un "tassement" (jolie euphémisme non ?) de la masse salariale. Tassement qui s'explique facilement par une baisse relative des salaires et une diminution du travail salarié. Forcément puisque tout a été désindustrialisé, robotisé (robots qui ne paient pas de cotisation — hint : point réflexion), délocalisé.

Et donc ces demis-intelligents (que j’appelle dans le billet précédent (une histoire d'intelligence émotionnelle) des "cons") se disent que les gens n'ont qu'à se démerder tout seul dans un monde globalement sans travail. Je ne sais pas trop comment ils imaginent que les gens vont trouver de l'argent à économiser pour leur retraite (probablement en les confiant à des fonds de pensions qui seront peut-être là au moment où ils devront rendre l'argent - souvenez vous d'enron). Alors moi je sais, ils sen branlent c'est de demerdensisich de ceux qui se "croient" intelligents et que la moindre parcelle d'intelligence émotionnelle montre que ce sont juste des cons.

En fait, ils tapent sur makron, mais ils sont faits de la même argile, cette sociopathie de bon aloi de clui qui se croit au-dessus des autres parce qu'il est un peu plus instruit, mais en fait, pas intelligent.

D'un point de vue politique (au sens propre) et humain, de la même manière dont on peut juger une société à la manière dont elle traite les plus faibles, le système de retraites en est un corollaire. Soit on veut une retraite par répartition ou la société est par nature solidaire et ou la génération des actifs prend soin de leurs parents (la génération des retraités). Dans cette société, le but d'un pouvoir politique est de favoriser le travail des actifs, des bons salaires (et donc des bonnes cotisations). en gros on fait attention à nos "jeunes". Et il y a l'autre vision, la retraite par capitalisation où tout le monde s'en branle de l'autre et ou, obligatoirement, le but est de "pressurer" nos "jeunes" (les actifs) pour assurer le rendement des capitaux (l'argent qui est gagné est pris à d'autres). Le souci est que cela implique obligatoirement une spirale descendante, chaque génération étant plus pressurée que la précédente à cause de la loi des rendements décroissants. D'ailleurs il suffit de regarder ce que nous sommes en train de vivre actuellement pour vérifier ce simple fait.

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intelligence émotionnelle
Publié par The Troll le 18 09 2022

cela fait longtemps que je n'ai pas écrit un billet qui dénonce grave, mais depuis quelque temps je "fréquente" (le terme est bien exagéré, disons que je lis les billets et les commentaires - sur certains sites, je ne lis que les commentaires, mon côté commère). les personnages de ce "silo" sont probablement très instruits et probablement très cultivés. Ils ont des avis et des connaissances sur tout plein de choses, conspuent le "péquin de base qu'est trop con" (ils oublient que le péquin de base leur a payé leurs études pour qu'ils servent et non pour qu'ils méprisent). je passe sous silence, tout ce que l'état fait est merdique alors que c'est surtout l'oligarchie qui massacre tout en ayant, en plus acheté l'état, mais le libéral est borné. je ne parle même pas d'un petit racisme et de misogynie rampante...

Or, il est probable que dans la population en général, la proportion de cervelles aptes à gouverner n’est pas nulle, mais est très basse (QI de l’ordre de 130). Dans la population féminine, la proportion de cervelles de ce type l’est encore plus (écart moyen de 5 points entre QI masculin et féminin). Il y a des femmes aptes, on le constate,, mais rarissimes. Tellement rares qu’on pourrait ne pas en tenir compte. Mais la féminisation à marche forcée, en Occident, propulse à des postes de gouvernances maintes femmes qui n’ont visiblement pas l’équipement intellectuel adéquat. Je n’aborde pas ici la question du caractère, mais elle est également importante.
-Après, le QI, ça vaut ce que ça vaut. Définir l’intelligence est à mon sens un exercice fort difficile, il y a, à mon avis, différentes « formes » d’intelligence.
- 90-60-90 est une forme d’intelligence !!!
- En plus des mensurations enoncées par le Major je rajouterais qu’un cup C (or D) c’est encore plus intelligent

Je vous laisse méditer sur le type de personnage.

Mais ce qui nous amène est ce commentaire

On n’a pas du se comprendre. Je dis simplement que l’émotivité n’est pas corrélée au quotient intellectuel. Il n’y a pas d’intelligence « émotionnelle », pas plus qu’il n’y a d’émotivité intellectuelle. Ou alors va falloir me sortir les études qui démontrent l’existence d’émotions intelligentes.

En fait, le mec confond intelligence et capacité à dire ce qui est attendu par le monde savant, ou le monde résistant suivant les sujets. Alors qu'un soupçon d'intelligence émotionnelle nous permet d'affirmer sans besoin de grandes études que ce type des personnages sont justes des cons. Des cons savants, mais des cons. Cela se ressent dans chacune de nos tripes. Quand on les lit, on a envie de vomir

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