Publication reprise de mon compte diaspora
les femmes ont un problème avec le choix, problème qui croît exponentiellement avec le nombre d’options qui leur est présenté. Or elles sont passées en quelques décennies du choix relativement confortable du moins pire des prétendants de leur village, aux choix offerts par le monde du travail, l’école, l’université et finalement le Monde entier, puisqu’il suffit d’un compte Instagram pour attirer tous les affamés de la planète, ce qui pousse parfois certaines à faire la moue en permanence en se la jouant star de cinéma, ce qui ne favorise pas les rencontres.https://lamitedanslacaverne.blogspot.com/2023/08/labsurde-guerre-des-sexes-07082023.html
Elles terminent alors leur périple sur Tinder, où elles peuvent, sans que cela les perturbe le moins du monde, être aussi superficielles que les hommes auxquels elles en font généralement le reproche et choisir, sur la base du seul physique, parmi une minorité d’individus qui n’ont que l’embarras du choix, vont les consommer sans donner suite, pour finir avec quelqu’un de plus jeune quand ils en auront bien profité, créant à la fois un ressentiment envers les autres hommes qui n’y sont pour rien, tout en confortant, faute de pouvoir regarder la réalité en face, le rêve éveillé d’une âme sœur cochant toutes les cases de plus en plus nombreuses ajoutées au fil des années qui, quelque part, les attend. Ce qui revient à se lamenter de n’avoir rien à se mettre devant une armoire pleine, chose qui deviendra réalité, lorsque pour avoir trop attendu elles auront trop changé pour trouver encore dans ladite armoire quelque chose qui leur aille dans le créneau de fertilité qui leur reste.
Même si les prémisses sont caricaturales et que je pense que ce problème de choix est a-sexué (plus on a de choix, plus il est compliqué de se décider) cet individu que je n’apprécie pas plus que cela hors le côté humour noir (qui n’est peut-être pour lui pas de l’humour) a le mérite de poser une problématique intéressante. Le rôle que la femme s’impose à elle-même, de par une idéologie dévoyée, et qui les pousse dans des situations peu enviables dont elles rejettent la faute immédiatement sur un “patriarcat” “toxique”.
De la même manière qu’un individu biologiquement mâle ne peut avoir intellectuellement aucune réalisation professionnelle dans un métier qui ne procure ni satisfaction, ni plaisir, ni carrière (pour ne fâcher personne prenons un métier désuet qui est garde champêtre), un individu biologiquement femelle à probablement plus (+) de véritables (entendre véritable par non induit par un discours libéral) plaisirs à élever son/ses enfants qu’à remplir des rayons et scanner des produits à une caisse.
ATTENTION : cela ne veut pas dire que cet individu femelle doit rester cloîtré à la maison : elle peut avoir une activité sociale avec d’autres individus faisant le même choix, elle peut poursuivre des hobbies et exister, même en tant qu’agent dit “improductif” par la propagande libérale. Je trouve “bizarre” que la “doxa” (même féministe) nous explique que la femme DOIT se réaliser dans un monde professionnel abrutissant et aliénant et qu’elle refuse d’admettre que ces mêmes femmes puissent se réaliser dans l’éducation de sa progéniture, qui est depuis à peu près 7 millions d’année, le rôle qu’elle accepte lorsqu’elle décide d’enfanter.
Je trouve alors parfaitement étonnant que les combats “féministes” sont parfaitement raccords avec les combats “libéraux” qui poussent les femmes dans un état d’asservissement tout à fait égalitaire de celui des hommes, alors qu’on pourrait attendre d’elles, un combat sur la reconnaissance de ce “travail” qu’est l’éducation de ses enfants (pourquoi, si vous donnez à élever votre enfant à une inconnue, l’état paie cette inconnue et si vous le faites vous-même, il ne vous paie pas, si ce n’est qu’il VEUT casser la relation parents-enfants) ?
Comme on sait que l’empathie vient de cette relation mère-enfant et que les saloperies que la société nous fait faire serait impossible sans avoir d’abord castré notre empathie “naturelle”, je ne suis pas loin de penser que les féministes sont instrumentalisées pour empêcher de créer ce lien (les femmes se font alors violence car c’est anti-naturel de laisser l’enfant que vous avez mis au monde à une autre) afin de pouvoir faire ce monde dégueulasse que nous vivons actuellement.