La censure comme normalisation de la pensée
Publié par The Troll le 29 11 2018

L'homme est un animal de raison. Il pense et prend des décisions, en tenant compte de ses expériences passées et de son savoir. En ce sens la censure c'est mal car elle fausse son jugement.

Prenons un exemple trivial. Imaginons que le gouvernement des états unis d'amérique savait pour le 9/11, avant que cela n'arrive et que pour des raisons diverses et variées avait décidé de laisser faire ou, pire, de profiter de la situation pour détruire des documents d'enquêtes en cours. Le cacher à la population et censurer ceux qui tentent de le porter à la connaissance des autres ne peut qu'alimenter la théorie du complot et fausser le jugement que tout un chacun peut avoir sur le gouvernement allant même jusqu'à fausser des élections. Et c'est mal.

Je ne sais pas si c'est le cas ou pas et je m'en fiche foutrement totalement car ce n'est qu'un exemple. Une censure peut fausser votre opinion.

Maintenant il y a des cas un peu plus grave. Tout le monde sait que les gafammes (gougueule, fessebouque, touitheure et consort) organisent une forme de censure.

  • Soit en supprimant des contenus (c'est très à la mode aux états unis d'amérique où fessebouque collabore ouvertement avec le gouvernement pour supprimer des pages, des comptes, des publications qui ne sont pas jugés acceptables)
  • Soit en ne les affichant pas (en organisant par exemple une mission éditoriale dans le fil de ce que vous voyez et en n'affichant pas la publication en question. Combien de personnes se plaignent que leur fil fessebouque ne correspond pas à ce qu'ils veulent voir, n'affichant pas les publications désirées et affichant d'autres publications indésirables. Combien de pages strikées ?
  • Gougueule, lui a une technique bien différente : il relègue très loin dans les classements les pages dissidentes. Il a changé il y a quelques mois d’algorithme et il est pratiquement impossible aujourd'hui de trouver les chiffres plausibles du nombre de morts de la grippe. Lors d'une recherche apparaît pendant de nombreuses pages de résultats les articles de la presse main-stream qui relaie la propagande officielle des, à la louche, 15 000 morts par an. Alors qu'il y a quelques articles de médecins qui montrent sans aucune erreur possible que le chiffre tourne plutôt autour de 500. (30 fois plus, faut le vouloir !) Je ne m'avance pas trop en disant qu'un médecin à un peu plus d'expertise qu'un pigiste du figaro qui revomi la propagande officielle.

Pour rester sur le cas de la grippe. Imaginons que cela vous pousse à faire vacciner votre papa ou votre grand père et que du fait de cette vaccination, il attrape une maladie dégénérative ou meure. La décision que vous avez prise tenait compte du fait que :

  1. Il y a beaucoup de mort de la grippe (alors que c'est un mensonge)
  2. Le vaccin empêche d'attraper la maladie (c'est un mensonge, les études montrent que cela ne change rien ou alors tellement un pouillème qu'on arrive pas à le déterminer, mais ces études sont ignorées et rendues invisible par les pouvoirs publics .
  3. Le vaccin est inoffensif, alors que tout un chacun peut bien imaginer qu'exciter le système immunitaire n'est pas anodin. La pharmacovigilance trafique les chiffres pour éviter panique et remise en question politique du système. Il y a quelques articles très détaillés pour ceux qui veulent penser par eux même.

Dans ce cas là, la censure est plus problématique (en dehors du fait d'avoir tué votre vieux père - mais il est mort dans la dignité, toujours ça de gagné) car elle vous a fait prendre une mauvaise décision du fait d’éléments faux ou incomplets. En fait, on vous retire votre droit à choisir en vous donnant des éléments faux ou incomplets et donc en guidant votre décision vers une réponse que l'on juge acceptable.

Maintenant, il y a encore pire. En censurant certaines idées (et pas les faits), on vous empêche même de penser. Pour rester sur la problématique du vaccin. Imaginons que l'on vous affirme depuis votre plus tendre enfance que le vaccin a sauvé l'humanité, des millions de vies, a éradiqué les épidémies qui nous tuaient tous et encore aujourd'hui nous évite à tous les morts atroces par millions. En censurant les thèses et études dissidentes, on vous empêche même de penser à l'utilité du vaccin pour tous qui est un dogme, un axiome. Pour terminer sur ce point à propos du vaccin de la grippe. En vous vaccinant contre la grippe, vous désapprenez à votre système immunitaire à vous défendre contre elle (et donc génétiquement vous laissez à vos enfants un patrimoine génétique amoindris) et le jour ou une grippe féroce passera à votre portée, ben paff, adios l'amigos. Hasta la vista baby.

Et là c'est encore plus mal comme dirait l'autre.

Le pire c'est qu'elle est insidieuses et se cache partout. J'ai moi même été victime de cette censure sur un site que l'on penserait à des lieux de cela : www.les-crises.fr, le site de Olivier Berruyer,qui se répand sur les plateaux de télé en taclant la censure de droite et de gauche, en dénonçant la propagande alors qu'il fait exactement pareil. En soit ce n'est pas très grave. Je ne fréquenterai plus ce site. Cela ne me manquera pas. et je ne leur manquerais pas. Mais cela dénote que même chez ceux que l'on croit vertueux, la censure fait rage.

Sur un truc anodin en plus. Je répondais à une personne qui donnait un lien sur le complexe d’œdipe, je faisais juste remarquer que de moins en moins de personne y croyait à cette théorie. Paff striké. Le truc improbable. Donc je fais une publication plus longue qui explique pourquoi il ne faut plus croire au complexe d'oedipe, sur le coup je me suis dit qu'une phrase laconique pouvait être jugée comme n'apportant rien au débat. je développe donc mon affirmation. paff striké..

Pour ceux qui ne suivent pas, ou qui ne sont pas au taquet sur œdipe, petite (enfin, non, longue) précision. Il était une fois un méchant roi grec.C'est important qu'il soit méchant. Les dieux, en forme de punition, lui prédise qu'il aura un fils, que son fils le tuera et épousera sa femme (du roi la femme - et du coup sa mère, au fils - faut suivre.) Ce qui devait arriver arriva, le roi eu un fils (oui, bingo c'est œdipe icelui). Se souvenant de la prédiction, le roi confie son fils afin de l'éloigner. MAIS la loi des dieux étant ce qu'elle est, en grandissant (beau et fort), il se retrouve en conflit avec un vieil homme et en se battant le tue. (oui ui bingo c'était son père.) Et à cause d'un haut fait, il récupère le trône laissé vide (et pour cause, il a tué le roi) et donc épouse la reine (qui est sa mère). Pour le faire rapide.

L'histoire aurait pu en rester là, mais de ce mythe (mythologie grecque) Freud à décidé d'en faire un complexe : le petit garçon qui veut tuer le père (il devait avoir un soucis avec le sien je pense). Cette vision de l'enfant qui veut détrôner le père (par la violence, même symbolique) porte un mythe social fortement ancré de la violence innée à l'homme. L'homme serait donc un animal violent par nature.

Mais c'est une interprétation du mythe. On pourrait par exemple tout aussi penser que :

  • C'est le fait d'avoir envoyé l'enfant loin de lui qui a créé cette finalité. Sorte de prophétie auto-réalisatrice. Et que le garder près de soi et l'aimer aurait fait obstacle à la prophétie.
  • On pourrait également penser que c'est le fait d'être méchant qui est à l'origine de cette 'punition' des dieux.
  • Il n'est pas incohérent de penser que cela veut dire que les enfant veulent la justice.

Mais non, il a été décidé que le garçon voulait tuer le père.

Cette conception de la nature violente de l'homme est porteuse, de mon point de vue, d'effets de bords. Par exemple cela voudrait dire que l'homme est violent par nature et que la société est là pour le pacifier. Alors que de mon point de vue, l'homme est naturellement bon et que c'est la société qui lui apprend a être méchant. Il y a des expériences sociologiques qui tendent à le monter. MAIS cette vision de l'homme violent permet également d'affirmer que notre société esclave d'une oligarchie (longue tradition française du monarque tout puissant) est la solution sinon ce sera le règne de la violence partout et par tous.

Ainsi supprimer les publications pour éviter que l'on puisse montrer qu'il y a des alternatives crédibles à cette société de domination, car hormis les psychopathes qui gouvernent (politiques et grands dirigeants) l'homme est naturellement poussé à coopérer.

Donc je me fend d'un commentaire à la suite d'un commentateur qui réagissait à la surprise d'une autre personne ayant vu son commentaire sur napoléon III stiké lui aussi et qui disait que les modérateurs avaient peur de groupes revendicatifs qui venaient pourrir les commentaires. Le fil entier est striké. pas de traces, nettoyage parfait, comme au temps de l'ère soviétique. Je reproduis donc ici ce troisième commentaire :

cette histoire de groupe revendicatif est une pseudo-excuse que l'on se donne pour continuer à vénérer ici.

J'ai eu 2 messages censurés parce qu'ils parlaient du (non) complexe d'oedipe. Peut être qu'il y a une cabale freudienne qui ravage internet et pourri les forums qui oseraient remettre en question le dogme ?

Non, comme partout ailleurs, pour continuer à vivre du financement participatif, il faut élaguer pour que ne se créé pas de fissure. On ne déplaît pas à la main qui vous nourrit, C'est la limite du modèle participatif. Elle se retrouve partout.

L'illustration du sujet, ce n'est pas que des 'groupes' viennent pourrir lorsque cela ne convient pas, mais que sur ce sites les propres modérateurs censurent ce qui ne leur convient pas. Alors même que ce n'est ni illégal, ni insultant ni contraire à la charte. Ce faisant ils ne sont plus fournisseurs de service, mais éditeurs des commentaires. Ils ont une ligne éditoriale. et ne diffèrent pas des publications qu'ils conchient.

Et pour faire un peu plus pragmatique... construire un modèle économique en partageant du contenu créé ailleurs.... l'article 13 va y mettre bon terme.

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Brave new hétéronomie
Publié par The Troll le 12 10 2018

Je lisais sur un site militant, bastamag pour ne pas le citer un commentaire proprement ahurissant. D'autant plus qu'il ne vient pas d'un ministre godillot de not' bon roi.

Il analysait pourquoi la réforme de la retraite de not'bon roi (pas la sienne hein, la nôtre), donc celle qu'il nous prépare pourrait encore augmenter les inégalité homme-femmes. Bon comme d'hab toujours on regarde homme-femme et jamais riche-pauvre. On sait jamais si on ne faisait pas parti des pauvres et que l'on se sentirait un poil coupable.

donc Christiane Marty, membre de la fondation Copernic, critique du néolibéralisme, et du conseil scientifique de l’association Attac dit, Attention ca claque : "il serait possible de modifier le congé parental de manière à ce qu’il soit partagé de manière égale – et obligatoire – entre les deux parents" (toujours sur mon délire riche-pauvre j'aimerais savoir ou se situe en terme de revenue cette madame Marty, dans quel décile)

Oui, vous avez bien compris, comme la retraite des femmes n'est pas assez importante (vie de famille, élevage des enfants...) et bien, nous allons obliger les hommes à prendre la moitié du congé parental (et donc diminuer leur retraite) pour la faire basculer du coté des femmes (qui donc prendront moins de congé parental).

Je passe sur la stupidité économique : on va donner moins à tout le monde, ce n'est pas grave prenons un peu à paul pour donner à jeanne. Mais les montants distribués restent toujours aussi bas.

Par contre, je ne passe pas sur ce que cela peut avoir comme effets sur les enfants. Je vous conseillerais de lire Bowlby J. sur l'attachement. Le bébé est naturellement attaché à la maman, car jusqu'à présent, c'est elle qui le faisait grandir dans son ventre. Ce n'est pas du tout une de ces conneries de genre social ou culturel c'est juste ce que la nature à décidé et qui nous a permis d'évoluer pendant 7 millions d'années.

Alors je sais bien qu'une frange de plus en plus importante d'abruti(e)s décident de sacrifier le développement de l'enfant sur l'autel d'une sacro-sainte égalité, Cela n'en reste pas moins un truc stupide, profondément stupide.

Sans aborder l'idée qui fâche qui serait de prendre un peu à ceux qui touchent énormément pour le distribuer à ceux qui touchent très peu - une sorte de taxe de péréquation. Ne serait-il pas tout simplement militant de demander à ce que la maman en congé parental voit abonder son compte de points retraite en compensation de travail fournis à faire des citoyens ?

Le truc impensable, vous comprenez, ce n'est pas du travail ! il faut aller (ou pas puisque le travail salarié disparaît) faire un truc souvent peu utile, esclave d'un petit chef maltraitant pour avoir le droit de gagner de quoi survire.

Y'a pas à dire, on n'est pas sortie de la berge avec de tels militants

c'est là : Pourquoi la nouvelle reforme des retraites pourrait aggraver les inegalites
politique ? - Mes combats - Commentez
Le féminisme à la limite de la maladie mentale.
Publié par The Troll le 27 08 2019

Je lisais un article sur le blog du monolecte, ici : blog.monolecte.fr/2018/08/03/dernieres-de-cordee/ qui nous explique le truc habituel de l'homme (tous les hommes) violent qui considère la femme comme son objet... enfin, faut aller lire pour comprendre.

Comme je suis à chaque fois interloqué par tant de fadaises, j'essaye de montrer une autre façon de voir, mais il ne m'est même plus possible de poster la bas. je ne sais pas pourquoi. Comme cette réponse avait pris un long temps à écrire, je la publie ici, pour mon usage propre.

Je viens me faire taper un peu, un coté sado-maso.

C'est super de prendre exemple au moyen-age pour justifier des thèses. Et surtout partir du statut supposé réel (à moins d'un saut dans le temps, on ne peut que supposer d'après des restes d'écrits et de l'interprétation des écrits et de la théorie que l'on veut montrer.) pour en faire une acte volontaire politique avec un 'agenda'.

Il faut un sacré saut quantique pour affirmer que la femme est le lot de consolation du salariat et que l'homme est le tyran de la maison qui se venge, qu'il viole 'ses' femmes et frappe tout le monde. En parentalité, on apprend que l'on est ce que l'on est devenu par notre éducation et nos expériences. Ainsi peut être y a t'il un biais lorsque l'on affirme que "où les hommes (à une écrasante majorité) se sentent fondés et légitimés à régner par la violence." Et ce ne pourrait être que la projection d'un vécu personnel dans une globalisation permettant de supporter son vécu en pensant que c'est partout pareil et qu'il y n'y avait rien de personnel, mais que c'est une malédiction globale. Parce qu'un enfant ne peut pas consider ses parents comme mauvais, donc il cherche obligatoirement des excuses. Ainsi si son père est un con, c'est parce que c'est un homme et qu'il est comme tous les hommes. Alors que c'est juste, lui, individuellement un con.

Il me semble, mais mes cours d'histoires sont loin et je ne sais pas s'ils étaient vrais ou juste une histoire destinée à me faire accepter la réalité, que l'esclavage concernait les femmes autant que les hommes, à égalité. Il me semble également que la domination sociale concerne aussi bien les femmes que les hommes, à égalité. Et de mon expérience personnelle, OUI il y a des sales cons, les compagnons de 2 amies en font partie, mais il y a tout autant, sinon plus de gens bien (même des hommes).

Il est intéressant de construire sa pensée bottom-to-top : l'homme (en tant que genre - c'est du pur sexisme) est un tyran et donc la société qu'il a construite est une société tyrannique qui transforme la femme en objet. C'est une théorie, un présupposé, il suffit ensuite de regarder tout ce qui se passe à travers ces lunettes pour s'y retrouver.. si ça ce n'est pas une preuve ! on va dire que c'est l'approche voltaire

On peut aussi construire sa pensé top-to-bottom : la société est une construction dominatrice d'une classe dirigeante asservissant TOUTE la population (hommes et femmes) et construisant, par l'éducation (l'école n'étant plus un lieu de libération mais d'endoctrinement à la reproduction du modèle social, ou les dominants le sont parce qu'ils sont les meilleurs) un modèle familiale qui a le plus de chance d'être un modèle de domination. C'est plus mon approche rousseau

Je vais prendre quelques exemples simples tirés de mon observation et de mes lectures :

  • Prenons l'allaitement. La pression sociale (masculine et féminine - point de sexisme la dedans) pousse à un allaitement le plus court possible pour au moins 3 raisons :
    • la vente du lait en poudre -> du cash pour les dominants
    • Le retour le plus vite possible au travail (et pas pour une libération car le travail est globalement aliénant)
    • la sacralisation des seins comme organes sexuels et non nourricier.

    Cette pression sociale APPRENDS aux gens (hommes et femmes) qu'il faut renoncer à sa féminité et donc apprends également aux hommes à trouver normal que la femme sacrifie la santé de son bébé pour être une maîtresse productive. Ainsi la femme qui ne désire PAS travailler pour élever ses enfants, les voir grandir est mal vu au sein des couples (bingo c'est le cas pour mes 2 amies). Cette séparation bébé-maman est la première pierre dans l'extinction de l'empathie chez l'enfant, extinction qui permet cette société maltraitante.

  • exemple très court : les bébés ne font AUCUNE différences entre garçons et filles. Jusqu'à assez tard (pas 10 ans hein) il n'y a pas de sexe, cela veut dire que cette 'domination masculine' n'est pas innée, mais acquise. Qu'elle ne vient pas de l'HOMME, mais de toute la société. Je vais prendre un exemple dans un autre champ. Si on montre à un bébé de 6 mois, un petit dessin animé avec 3 bonhommes : le rouge faisant un truc, le bleu l'aidant et le vert lui mettant des battons dans les roues, le bébé prendra naturellement (100% des bébés) la figurine représentant le bonhomme bleu. Si on refait l'expérience à 1 ans, ils ne sont plus que 80% à choisir le bleu. Parce que entre temps, de par son observation, le bébé à compris (son cerveau apprend pour s'adapter) que celui qui gagne DANS CETTE SOCIÉTÉ (objectif du cerveau : travailler le moins et activer le plus les zones de plaisir) n'est pas celui qui aide.

Enfin, je veux tout de même passer un temps court sur la tarte à la crème de la différence des salaires hommes-femmes. Qui étaient de 30% argg affreuse domination sexiste d'une société patriarcale de maichants violeurs violents (sympa l’allitération) alors que l'étude que j'avais partagé en son temps montrait que la différence inexpliquée était plus de l'ordre de 5-10%.

A ce propos, je voudrais partager un article qui montrait qu'il n'y a pas de différence volontaire de salaires hommes-femmes et qu'au sein des entreprises il est identique, mais que DES entreprises aux salaires plus faibles attirent les femmes ayant des enfants, parce que plus proches de chez elle, avec des horaires pus souples, avec des femmes ayant elles même des enfants...

blogs.alternatives-economiques.fr/anota/2018/08/01/inegalites-de-salaires-entre-hommes-et-femmes-quel-est-le-role-de-la-maternite-et-des-politiques-salariales

Tout cela pour dire, que OUI il faut améliorer le statut de la femme (avant d'améliorer celui de l'homme) :

  • Possibilité d'avoir un salaire permettant d'élever ses enfants (prenant un exemple tout bête, 2 mamans qui sont assmat. Si elles s'échangent leur bébé en garde, elles vont toucher toutes les 2 de l'argent de l'état pour 'rembourser' les frais de garde.Si elles ne le font pas elles ne touchent rien. Stupide non ? Elles touchent de l'argent à faire élever leur bébé par une autre, coupant le lien maternel nécessaire à l'empathie et l'ocytocine.
  • Possibilité d'avoir un congé maternel plus long. Il est aberrant de séparer un bébé de sa maman à 2 mois 1/2. Je l'ai vécu, je sais de quoi je parle. Cela en fait des bébés à l'attachement non sécure et donc des proies facile pour la société de domination. Il y a plein de conférences sur le sujet. DAns la foulée un congé parental décent.
  • Possibilité d'avoir un revenu de remplacement pour quitter un conjoint ou une situation délétère.
  • Possibilité pour celles qui le veulent de garder leur bébés lorsqu'elles sont enceinte et que la pression familiale et/ou sociétale les pousse à avorter ; en créant des structures et des financements adéquats.

Voila ces quelques mesures permettrait de stopper la violence de la 'majorité des hommes' (est-ce que vous saviez que la majorité des femmes trompaient leur conjoint ? et que pour une bonne partie des enfants le père biologique n'est pas le père, à tel point que les (certains, au moins pour le 'notre') obstétriciens affirment sans rougir que 2 rhésus négatifs peuvent faire un rhésus positif.)

Ces hommes ne sont pas des coupables mais des victimes (hormis les sales cons qui sont bien moins nombreux que la horde voulant la guerre des sexes (pendant ce temps, le capitalisme peut bien continuer à faire son beurre) le font croire.)

Oui je sais je n'aurais pas du intervenir sur ce sujet, c'est le sujet sacré ou il faut être obligatoirement d'accord et se flageller d'être un homme sinon c'est la curée. mais bon, il fait si chaud...

EDIT de bien plus tard : je rajoute 2 liens qui complètent le regard sur les écarts de salaires :

Pour le dire autrement, il faudrait d'abord montrer que les femmes veulent la même chose que les hommes. VEULENT, c'est à dire pas un truc qui leur est imposé par une injonction non patriarcale, mais capitaliste

J'en profite pour ajouter 3 commentaires qui aborde également ces points de vue : le société capitaliste qui fausse et impose des relations sociales non voulues :

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