Il y a des moments charnières dans l'histoire, des moments ou les dindons de la farce se rendent compte de ce qu'ils sont.... des dindons au moment du Noël des riches. C'est le célèbre qu'ils mangent de la brioche pour remonter pas si loin que cela sur l'échelle de l'histoire de l'humanité. Je crois que nous en sommes arrivé là.
Tout l'indique.
- Que ce soit la loi sur le travail que quelques vendus vont faire passer, contre le peuple, contre les élus de leur propre camp, contre les études économiques sérieuses, sans aucune étude sur les implications, dans l'indifférence la plus totale sur la paupérisation grandissante d'une population alors que les "riches" thésaurisent de plus en plus, et de manière exponentielle.
- Que ce soit le "grand débat sur la vaccination" de mst (oui cela s'attrape lorsqu'on couche sans se protéger) ou la dite mst évince le comité crée exprès pour ces problématique de démocratie et santé pour confier la mission à une simple secrétaire nommé Hurel. Lorsque l'on pense que dans le procès de la vaccination hépatite B, on a écarté les conclusions du premier expert Marc Girard, expert auprès des tribunaux en législation sur les médicaments et pharmacovigilance, parce qu'il n'était pas un spécialiste du vaccin, et que l'on confie (j'allais dire confit) cette mission à une simple secrétaire ... d'une amie politique, c'est vrai.
- Que ce soit dans le dossier Notre Dame Des Landes, ou on s'aperçoit que le préfet qui a signé la déclaration d'intérêt public est maintenant employé, et pas comme balayeur, chez celui qui va en bénéficier. On s’aperçoit également que les chiffres fournis pour cette déclaration d'intérêts publiques sont bidonnés et qu'ils ne résistent pas à un examen approfondis.
- Que ce soit pour les 150 morts au bataclan qui permettent un état d'urgence permanent qui sert surtout à traquer de l'opposant politique (mais le gouvernement français a toujours traqué l'opposant politique), le militant écolo, l'agriculteur bio, plutôt que d'expliquer au Quatar que maintenant ça suffit, défense de financer les fragiles qui veulent se faire sauter à la gloire d'un dieu qu'en a rien à foutre.
- Que ce soit les morts sur les routes qui servent surtout à mettre des flics partout et traquer du 51 au lieu de 50 plutôt que d'améliorer les infrastructures routières. Lorsque vous donnez l'habitude à votre population de courber l'échine et fermer sa gueule, c'est toujours un bon moyen d'écraser dans l’œuf tout velléité de contestation. Parce que le but est là. Il suffit d'avoir vécu un de ces contrôles par les cow-boys modernes dont le qi n'est compensé que par le flingue et l'autorité que des pourris leur confère.
- Que ce soit les maladies iatrogènes (provoqués par les traitements prescrits) qui doivent faire à la louche 20 000 morts. Dans l’indifférence la plus totale des autorités de santé qui préfèrent monter en épingle un cas de rougeole qui s'est mal terminé parce que le médecin a été incapable de le diagnostiquer assez tôt, par manque de compétence ; Que le traitement a été salopé, par manque de compétence, ou juste pour placer les médocs des labos qui vous paient à bouffer de temps en temps.
Parce que dans TOUS ces cas, il y a un dénominateur commun : on écrase le peuple pour lui faire fermer sa gueule plutôt que de réguler les salops qui se goinfrent, juste parce que ces salops sont des amis, des amis qui financent les campagnes électorales, qui financent les vacances, les restaurants, qui font le travail à votre place en rédigeant les lois, parce que le politique français ,sauf exception (comme les poissons volants), est juste un animal de cirque qui ne veut que se faire réélire et qui, le reste du temps, se touche à jouer au monopoly grandeur nature sans aucune compétence et sans aucun travail. Et celui qui n'est pas de ce moule et qui a réussi à passer les mailles du filets est mis au pas : soit il obéit, soit on lui supprime sa circonscription. La plus pure des démocraties qu'on vous disait.
Ensuite on s'étonne de l'explosion de la violence, je trouve que c'est même plutôt calme, et c'est assez inquiétant. C'est le calme avant la tempête.
ps : et comme je suis sympa, je passe sous silence le comportement des pseudos administrations qui écrasent la gueule de l'usager pour le traiter comme un animal.