Faux rèves américains
Publié par The Troll le 15 09 2015

le rêvé Américain, porté par l'image du territoire vierge ou ton travail te sortait du lot. ou pas. Car c'était déjà la loi du plus fort, celui qui te sortait de force de ta terre fertile pour t'exiler dans l'aride.

Mais imaginons que cela puisse marcher tout de même comme cela. Aujourd'hui, point de terre vierge, pour planter une bicoque de 4 planches, faut acheter les planches (tu n'as pas le droit de les couper), faut acheter ou louer le terrain (et faut que la mairie ait décidé qu'il soit constructible, et il faut qu'elle ait décidé que ce soit assez salubre), sinon pas le droit de l'utiliser, et dès que tu gagnes de l'argent, tu passes à la caisse pour un peu tout un tas de taxes en tout genre. Ainsi c'est le rêve américain à l'envers : tu paies pour prendre des risques, et si jamais tu gagnes un peu ta vie (sauf jackpot, mais il y en a moins que des gens qui deviennent millionnaire au loto) l'état sait comment te prendre la majorité pour qu'il ne te reste que juste de quoi vivre.

C'était ce qui était dénoncé dans le film Time Out : lorsque les "pauvres" ont "gagné" du temps : le prix du travail diminue, le prix des loyers augmentent pour qu'ils continuent à ne pas s'en sortir.

C'est pareil dans tous les secteurs, les fournisseurs (macro-boites internationales) sont capables de calculer les prix de vos intrants pour vous laisser juste de quoi vivre. Ils ne vendent pas aux prix de revient+marge (la main invisible du marché, lol quoi), ils vendent aux prix qui vous essorent pour ne vous laisser que juste de quoi vivre.

Et pendant tout ce temps, la moitié des moutons un peu cons qui forment la population pauvre montre du doigt l'autre moitié en l'accusant de tous les maux.

politique ? - Commentez
un peu de réfléxion sur l'europe.
Publié par The Troll le 08 07 2015
LE truc avec l'euro et l'europe, c'est que cela à commencé sur un gros mensonge.. enfin plutôt 2 mensonges :
  • Le premier c'est qu'avec une monnaie unique on arriverait à une harmonisation fiscale et sociale (vers le haut hein !), c'était clairement le deal de delors lorsque l'on a signé sous mitrand. Cela a plutôt servi aux pays "riches" de l'europe de se servir des différences fiscales et sociales pour gagner encore plus de fric. la conséquence est un asséchement du travail sur son propre sol et un laminage de fait des conditions de travail et des niveaux de salaires, sans avoir peur ni des risques de change ni des ajustements de parités monétaires pour compenser partiellement ces "dumpings". Parce qu'il ne faut pas oublier une règle de base des marchés monétaires/financiers : le cours de la devise d'un pays suis la balance commerciale : tu exportes plus, ta monnaie augmente et donc freine tes exportations. C'est le mécanisme régulateur du marché entre pays.
  • Deux : on a prévu, comme c'est une monnaie unique, un déficit unique, puisque le déficit public joue sur la parité, plus tu empreintes, plus ta monnaie baisse et plus tu peux exporter, et moins tu as besoin d'emprunter. Comme pas d'ajustement monétaire, pas de déficit. Mais la règle à également oublié de fixer la balance commerciale équilibrée entre zone euro. Ainsi un pays de la zone euro ne devrait PAS avoir une balance commerciale excédentaire sur la zone euro (que les pays euro) car sinon ils créent mécaniquement de la dette chez les autres. En occultant ce point fondamental, on a permis à l'allemagne de se faire du bonus sur le reste de l'europe en se servant du marché intérieur européen sans ajustement monétaire. Pour info les us (parce que monnaie d'échange - voir la théorie des N+1 monnaie) et l'allemagne bénéficient à plein régime de cette exception.
  • 3 ème point bonus : il est impensable de garder au sein d'une même union monétaire des personnes ayant des financements des retraites différentes (capitalisation et répartition) parce que les besoins sont antagonistes. Les pays par répartition ont besoin d'une masse salariale importante pour générer les cotisations des retraités. Les pays par capitalisation ont besoin d'un profit au capital le plus important possible (et donc pas besoin de masses salariales) pour que l'épargne fructifie. Pour faire grossier les capitaliseurs peuvent/doivent sacrifier leur population de jeunes pour que leurs vieux continuent de vivre comme au temps ou la croissance était à deux chiffres alors que nous sommes en récession. D'ailleurs effet bonus, l’étranglement de l'inflation (pour ne pas éroder le capital des petits vieux allemands) étrangle la croissance : nous sommes obligé d'acheter toujours moins cher pour garder un semblant de niveau de vie à charge de travail plus ou moins équivalent.
  • 4ème point un peu à coté et français (je ne connais pas en allemagne, mais la GB(qu'on devrait éjecter de l'europe fissa) est identique)) : on décide d'allonger les durées des crédits immobiliers pour permettre avec une masse salariale nette en diminution de continuer à garder un semblant de marché de l'immobilier un tant soit peu vivant. Parce que les niveaux de retraites (la répartition) dans un monde ou l'on donne eux entreprises le pouvoir politique va diminuant et ainsi il FAUT que les retraités (la masse hein, pas le premier décile) puissent ne pas avoir de loyer à payer une fois à la retraite : moins de charges, donc possiblement moins de revenus. C'était un peu la part répartition à la française. Envoyer ses retraités pauvres à l'étranger (espagne, maroc…) est d'une stupidité sans nom : ils dépensent leur argent la bas et le versement des retraites devient une perte sèche, plutôt que de le voir réinvesti dans l'économie). Sur ce point le raisonnement est équivalent avec l'immigration : il est idiot de laisser la famille d'un travailleur dans son pays pauvre : il va mécaniquement envoyer le plus de fric possible pour qu'ils puissent vivre, plutôt que de leur faire dépenser sur notre sol.
Donc, mal faite (ou faite sciemment pour cela) l'europe a été un moyen pour les pays riches de piller les pays pauvres, une sorte de relais de croissance, maintenant qu'il n'y a plus de colonies à piller. Je ne parles même pas du luxembourg qui donne des leçons à tout le monde à la présidence de l'europe et qui organise l'évasion fiscale à l'échelle mondiale. Je reprends enfin un bon mot de Euclide Tsakalotos (lu sur marianne.net :

En tant que gouvernement de gauche, nous pensons qu'un marché du travail régulé est plus juste car cela permet de corriger ses déséquilibres au profit des travailleurs. (…) Ceux qui sont incapables de faire du profit sans imposer des conditions de travail inhumaines et des salaires extrêmement bas : ces gens-là doivent quitter le marché ! »
L'article complet : eurogroupe ils detestaient varoufakis ils hairont tsakalotos

Un peu de lecture :
politique ? - Commentez
Mon combat pour installer un inux sur le Asus X205TA
Publié par The Troll le 04 10 2015

DISCLAIMER : SI VOUS N'ÊTES PAS À L'AISE AVEC DES INSTALLS UN PEU COMPLEXE, FAITE LE FAIRE

Pour la faire court, j'ai installé, plus ou moins avec bonheur, un Ubuntu sur cette.... machine. Jolie, y'a pas à dire et sous windows, elle tient assez longtemps (on dit 8 heures...). Mais cela implique d'avoir un UEFI en 32 bits ET un windows en 32 bits sur une machine 64 bits pour probablement économiser de la batterie. Moi péquin de base j'aurais fait pareil, mais de la part de asus/intel/microsoft, ca laisse rêveur de la compétence de ces gens là.

Oui vous pouvez vous moquer, car c'est un uBuntu et pas un Debian, mais la copine en question travaille avec, je ne vais pas lui imposer mes choix et je n'ai rien contre ubuntu. Comme dit mon plus jeune fils : uBuntu ce sont des copains, même si on ne mange pas à la même table.

Avant tout chose, il faut bien vérifier la partition de démarrage et cette du boot (ses numéros). On en aura bien besoin lors du redémarrage sur le vrai disque.

J'ai choisi de l'installer à coté de windows car uBuntu le permet sans se prendre la tête. Il sera toujours temps de supprimer la partie winwin et agrandir l'espace réserve à uBuntu le jour on a décidé de faire sans.

Comme ce n'est pas ma machine et que j'ai une obligation de donner une machine fonctionnelle, s'il y a quoi que ce soit de problématique, il restera toujours un winwin pour travailler.

En suivant la procédure d'installation à partir du live cd fournis, ubuntu a installé le système sur p6 et le swap sur P7. C'est la partie dont il faut se souvenir pour le lancement à la main et la finalisation

l'installation est particulièrement longue. Je ne sais pas trop pourquoi, on est sur du SSD, ca devrait filer mais bon.
J'avais vu qu'il y avait une device /dev/mmcblk0rpmb (souvenez vous de cette chose qui va vous pourrir la vie) qui était en time out, mais comme je suis partie de installation directe(l'autre plantait) je n'ai pas la main pour le supprimer. Je ne sais pas si c'est le coupable, mais comme j'ai du temps (façon de parler) je prend mon mal en patience.

C'est assez bien expliqué sur les liens suivant : J'ai utilise ce kernel là :

#!/bin/sh
wget http://kernel.ubuntu.com/~kernel-ppa/mainline/v4.0-vivid/\
linux-headers-4.0.0-040000-generic_4.0.0-040000.201504121935_amd64.deb

wget http://kernel.ubuntu.com/~kernel-ppa/mainline/v4.0-vivid/\
linux-image-4.0.0-040000-generic_4.0.0-040000.201504121935_amd64.deb

wget http://kernel.ubuntu.com/~kernel-ppa/mainline/v4.0-vivid/\
linux-headers-4.0.0-040000_4.0.0-040000.201504121935_all.deb
Mais vous pouvez en trouver un plus récent ici : En sachant qu'à l'époque, seulement les ubuntu 64 bits s'installaient sur des machines UEFI.

Ensuite je l'ai refait avec le kernel 4.1-rc2, car il manquait la prise en charge du wifi et de la carte SD

Certaines choses ne sont pas fonctionnelles, comme le son, certains 'fonctions', et surtout, surtout un PUT* de time out au démarrage d'environs 50 secondes sur le fameux device /dev/mmcblk0rpmb. Ce qui fait que cette bous.. machine démarre en 50 secondes au lieu de 2. C'est con pour du SSD.

Le soucis vient du fait que systemD le traite comme un périphérique bloc (un disque dur ou une carte SD) alors que c'est l'antémémoire du SSD (un truc dont l'accès n'est pas autorisé au système)

C'est une régression de systemd car cela eu fonctionné avec un version plus vieille, mais plus maintenant, au moment ou la machine fut installée. Pas la peine d'aller voir dans les règles de udev, elles sont bien là, mais elles ne trapent pas la chose, je ne sais pas pourquoi et je n'ai pas trouvé ailleurs sur le net un moyen de résoudre le soucis à l'époque des faits. Enfin si, il y a un vilain hack qui consiste à recompiler le noyau en lui faisant pas exposer ce périphérique, mais ce n'est pas pérenne, il faut le refaire à chaque mise à jour de noyau... ce qui est noyen.

En mode Race, les étapes :
  1. Faire un usb disk bootable avec l'iso ubuntu
  2. Copier le fichier bootia32.efi (le boot EFI)* dans le dossier /EFI/BOOT de la dite clé.
  3. désactiver le secure boot
  4. booter de l'usb
  5. Installer sur le disque
  6. Redémarrer sur la clé usb (F2)
  7. une fois sous grub, faites c pour avoir la ligne de commande(ui ui ca pique un peu)
  8. Une fois au prompt de grub (grub>) taper :
    • linux (hd1,gpt6)/boot/vmlinuz-xxx root=/dev/mmcblk0p2 reboot=pci,force
      - ui ui le 6 de la partition 6 lors de l'install (je vous avait dit de le noter )
      - normalement tab permet l'autocomplétion pour ne pas avoir à taper tout le chemin (d'ou mes xxx)
    • initrd (hd1,gpt6)/boot/initrd-xxxx
      - idem pour l'autocompletion par tab
    • boot
  9. TADAAAA.. boot sur le disque
  10. Et pour finir, la création du boot uefi (en root hein ! ou avec sudo)
    • apt-get install git bison libopts25 libselinux1-dev autogen m4 autoconf \
      help2man libopts25-dev flex libfont-freetype-perl automake autotools-dev \
      libfreetype6-dev texinfo

      plus forcément en root
    • mkdir git
    • cd git
    • git clone git://git.savannah.gnu.org/grub.git
    • cd grub
    • ./autogen.sh
    • ./configure --with-platform=efi --target=i386 --program-prefix=""
    • make
    • cd grub-core
      maintenant ca va re-être en root (ou avec sudo)
    • grub-install -d . --efi-directory /boot/efi/ --target=i386
    • cp /boot/efi/EFI/grub/grubia32.efi /boot/efi/EFI/ubuntu/
    • update-grub2
  11. Et maintenant vous pouvez démarrer sans la clé, directement sur le disque
    - Et non je ne vous proposerais pas le mien de fichier, car je pense qu'un fichier qui est installé à vie sur une machine (pas un fichier transitoire comme celui pour l'install usb) doit être fournis par la distribution ou compilé soit même.
    - C'est pas parce que je suis paranoïaque que je n'ai pas raison de penser que les gens me veulent du mal.
* J'ai confiance dans ce fichier parce que c'est moi qui l'ai fait, mais si vous êtes parano, voici les instructions pour le faire :

apt-get install git bison libopts25 libselinux1-dev autogen m4 autoconf \
help2man libopts25-dev flex libfont-freetype-perl automake autotools-dev \
libfreetype6-dev texinfo

# from http://www.gnu.org/software/grub/grub-download.html
git clone git://git.savannah.gnu.org/grub.git

cd grub

./autogen.sh

./configure --with-platform=efi --target=i386 --program-prefix=''

make

cd grub-core

../grub-mkimage -d . -o bootia32.efi -O i386-efi -p /boot/grub ntfs hfs \
appleldr boot cat efi_gop efi_uga elf fat hfsplus iso9660 linux keylayouts \
memdisk minicmd part_apple ext2 extcmd xfs xnu part_bsd part_gpt search \
search_fs_file chain btrfs loadbios loadenv lvm minix minix2 reiserfs memrw \
mmap msdospart scsi loopback normal configfile gzio all_video efi_gop efi_uga \
gfxterm gettext echo boot chain eval
Libre - Commentez
Présentation du matériel de base
Publié par The Troll le 13 02 2018

Il est temps de vous présenter le matériel que nous allons utiliser. Il y a d'autres modules et d'autres méthodes. Notre arbitrage fonctionnalités/prix nous a conduit à ces choix.

Les trois modules basiques fournis

Comme on peut le voir, Nous avons un arduino uno (ou plutôt un funduino) qui est un arduino italien, comme il est entièrement libre, il est fabriqué également sous d'autres marques. !Nous avons donc le arduino uno, une carte d'extension, permettant de bénéficier des connecteurs arduino sur une carte "vide", et une petite breadboard en plastique blanc. La breadboard est une petite carte permettant de faire des montages simples sans soudure.

On colle la breadboard sur la carte d'extension et on accouple la carte d'extension sur l'arduino uno. Nous obtenons alors la bête terminée.

la plateforme de travail montée

Il reste juste à présenter comment fonctionne une breadboard. Chaque demie-partie présente des continuités verticales. Comme le montre la photo ci-dessous, chacun des trous d'une même ligne sont reliés entre eux : le courant passe entre tous les trous de la même ligne.

le schéma de droite représente un petit circuit : Nous relions une résistance à la pin 9 de l'arduino avec un câble sans soudure (le câble et la résistance sont branchés sur la même ligne verticale). Puis nous relions la résistance à une led (les 2 sont sur la même ligne verticale. puis la led à un câble sans soudure (les 2 sont sur la même ligne verticale) qui est relié à la masse. Sur l'image les continuités entre les composants sont représentées par les lignes rouges.

Breadboard, comment ca marche ?
Prêts pour devenir le nouveau Turing :-)
Arduino - Électronique - Commentez
Premier pas avec un arduino : l'installation des outils
Publié par The Troll le 01 05 2015

Puisque nous sommes à nous raconter notre vie, j'ai commencé à tater un peu de l’électronique pour en faire avec mon gamin. Après des recherches un peu fastidieuses, j'ai opté pour un arduino, car il me semblait bien adapté pour ce que je voulais faire :

  • Facilement mis en œuvre
  • De l’électronique simple
  • De la programmation accessible
  • Tout plein de tutoriels sur le net

De plus, cerise sur le gâteau, ce que l'on apprends est directement utilisable autant en électronique qu'en programmation ( c'est du c). Dans ce premier billet, je vais aborder ce que nous avons fait pour mettre en place la plateforme pour que tout fonctionne.

Disclaimer : J'ai toujours cherché à avoir des outils qui fonctionnent en ligne de commande pour ne pas avoir besoin d'un machine dont la puissance sert uniquement à faire tourner un ide. J'ai l'impression également que cela te permet d'être plus proche de ce que tu fais en ayant besoin de plus de connaissance et que donc tu comprends un peu pus ce que tu fais.

Disclaimer 2 : mon système d'exploitation est debian linux, ainsi toute les étapes d'installation sont centrées sur cette plateforme.

Donc, première étape, installons les outils nécessaires pour l'arduino (ces manœuvres se font en étant Super Utilisateur - root) :

apt-get install arduino-core

Ce paquet va également installer le nécessaire de compilation et les outils pour obtenir un "fichier" binaire utilisable sur l'arduino. On peut également installer arduino (tout court) qui fournit un IDE qui à besoin de java pour fonctionner. arduino-core fournis tout un tas de fichier nécessaire à compiler pour l'arduino, des bibliothèques, des fichiers de définitions des différents modèles...

Pour parler avec l'arduino branché en usb, j'ai choisi ino, écrit en python, il s'installe facilement (si vous avez le paquet python-setuptools, qui fournit easy_install. Donc :


apt-get install python-setuptools

Une fois installé, il reste à installer ino

easy_install ino

ino à besoin de picocom pour parler avec la carte, et de make pour compiler c'est facilement fait :


apt-get install picocom
apt-get install make

Ensuite, il vous reste à brancher votre carte et vous la verrez apparaître sous le poétique nom de /dev/ttyACM0

crw-rw--- 1 root dialout 4, 67 mai    1 11:57 /dev/ttyACM0                                                                                                                     

Comme on peut le voir, vous en tant que simple utilisateur, vous n'avez pas le droit de faire quoi que ce soit avec lui, seul le propriétaire (root) et le groupe (dialout) ont le droit de lire et écrire (rw-) sur ce fichier (car sous linux tout est fichier). Ainsi il y a 2 moyens de contourner le problème :

  • Crée une règle udev pour que le périphérique vous appartienne
  • Vous faire appartenir au groupe dialout

J'ai choisi cette deuxième solution. Cela se fait facilement avec une simple commande (il faut être Super utilisateur (root)) :


usermod -a -G dialout votre_utilisateur

Votre utilisateur est le login que vous employez pour vous connecter, si vous ne le connaissez pas (auto-login par exemple), il est disponible avec la commande :


whoami

Une fois ajouté au groupe, il faut vous reconnecter et vous reconnecter pour que votre appartenance soit effective. Dernière manœuvre pour se faciliter la tache (car nous avons décider d'utiliser nano comme éditeur de code : installé d'office et très très light. D'autant plus que pour le moment le code que l'on fera sera tout simple et plutôt court. Les fichiers que produit ino se nomment xxx.ino. Comme nous désirons avoir la coloration syntaxique du C, je modifie le fichier de coloration syntaxique de nano pour le langage c qui se trouve à cette place /usr/share/nano/c.nanorc et modifie la première ligne pour qu'elle deviennent :


syntax "c" "\.(c(c|pp|xx)?|C|ino)$" "\.(h(h|pp|xx)?|H)$" "\.ii?$"

Vous êtes maintenant prêts pour la grande aventure.

Arduino - Électronique - 2 commentaire(s)